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Chez Jules à Lyon

Il y’a mon adoration pour les beaux restos qui savent faire danser les aliments dans les assiettes et me faire rougir le gosier et il y’a la street food qui me fait me poser et observer le monde en me disant mais punaise que c’est bon de prendre son temps !.

Aujourd’hui, inauguration de ma nouvelle catégorie street-food parce que j’ai plus de temps pour ce mode de vie culinaire que pour poser mes fesses sur la chaise d’un resto gastronomique et que je kiffe les sandwichs et les tartelettes sucrées !

Des boulangeries, des pizzerias, des kebabs, des frites, des sandwichs, des tartes, des trucs qui se mangent avec les doigts, des choses qui dégoulinent le long du menton, de la bouffe aussi vraie que dans l’assiette et que l’on peut trainer dans son sac …

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L’autre jour, je suis allée faire un tour aux Brotteaux, pas du tout mon quartier, j’avoue ne pas connaître n’allant jamais de ce côté là de la ville.
Ce jour là, j’allais acheter ma super tenue de combat de pâtissière qui me fait ressemblait à un bonhomme Michelin mais sans les bouées, je suis pas un pneu quand même ! Mais, je te laisse imaginer la chose …

En sortant de la boutique pour rejoindre le métro, je tombe nez à nez sur une boulangerie qui m’interpelle par la phrase cabinet de gourmandise.
Déjà, je trouve ça un peu bizarre pour une boulangerie mais bon, je n’avais pas plus faim que ça, il était 10h30 mais j’y suis quand même rentrée et je me suis payée un petit sandwich et deux tartelettes.

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Le sandwich, un Berger, un pain aux graines de pavot, jambon cru, fromage de chèvre et noix, sans oublier la salade et je n’ai qu’un mot pour le décrire : PARFAIT ! Oui, parfait parce que quand, tu croques dedans le pain est à la fois tendre et ferme. Oui, parfait parce que quand, tu croques dedans tout se découpe et s’entrelace sous le palais sans reste. Un léger goût d’huile d’olive qui ne gâche pas la saveur des autres éléments.

Ca faisait longtemps que je n’avais pas savouré un sandwich dans lequel je ne perds pas une tomate ou que j’y laisse pendre la moitié de mon jambon qui n’a pas su se déchirer sous mes dents.